Aux environs de Noël 2024, si mes souvenirs sont bons – on aura l’obligeance d’ignorer les délais qui séparent cette date du présent billet –, notre infatigable Capitaine m’a fait part de quelques interrogations linguistiques. Tout commença par cette question : y avait-il un lien entre le mot latin rapere[1] et ses dérivés (rapt, angl. rape) et le mot français rapière ?
Il faut alors dire un mot de la démarche du « sachant », puisque c’est pour ainsi dire en cette qualité qu
Journaliste indépendante, passionnée d’histoire populaire et de gestes oubliés, elle s’est imposée naturellement comme la rédactrice en chef de ce site.